Thales Peetermans

Thales Peetermans

Bascule coréenne

Belgique

Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH
Trio Sans Interdit, bascule coréenne, 34e promotion du Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne
Photo : Vince VDH

Thales est d'origine belge, il habite en France. Après avoir découvert la bascule coréenne dans une petite école de loisirs à Anvers, il poursuit sa pratique avec Niels Mertens. Quelques années plus tard, Tiemen Praats les rejoint, et ils forment ensemble un trio de bascule coréenne.

Quand ils intègrent l’École nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois (ENACR) en année préparatoire, Thales découvre plusieurs autres intérêts en dehors de la bascule, notamment les métiers techniques et tout ce qui se rapporte au rigging, à la longe pour le trapèze ballant. Il développe également son regard artistique sur la bascule.
Le trio intègre ensuite le Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne, toujours en pratiquant la bascule coreénne. Aujourd’hui, ils ont formé un collectif à 6, pour s’ouvrir aux portés acrobatiques et à la bascule hongroise. En parallèle, Thales continue de se former dans la technique des accroches, à la longe et au trapèze. Il a suivi récemment le module "Installation régie son et lumière" de la formation Technicien de cirque développée par le service FTLV (formation tout au long de la vie) du CNAC et son intérêt va grandissant pour la dramaturgie et les effets lumière en spectacle.

Son rêve est de partir en tournée avec un chapiteau et le collectif à 6. Dans le cadre de ce projet, il souhaiterait faire évoluer les idées et attentes que les gens ont sur la pratique de la bascule, en partant de l'idée qu’avec travail et détermination tout est possible, surtout sous un chapiteau.

 

Trio « Sans Interdit » Belgique Bascule coréenne

Le trio Sans Interdit est constitué de : Niels MertensTiemen Praats et Thales Peetermans. Trois individualités avec leur parcours respectif, pour une passion commune. Ils se sont rencontrés en 2012 dans une école de loisirs de cirque belge, Ell Circo D’Ell Fuego, basée à Anvers et ont commencé à pratiquer la bascule coréenne en trio dès 2017.

Après avoir appris des bonnes bases dans un cadre très technique, le trio intègre l’École nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois (ENACR) en 2018.

En 2019, ils poursuivent leur formation au Centre national des arts du cirque/CNAC de Châlons-en-Champagne. Pendant ces quatre années de formation, ils ont plusieurs occasions de collaborer avec des artistes et des metteurs.euses en scène du cirque et de la danse : Dominique Bettenfeld, Bertrand Bossard, Kaori Ito, Guy Alloucherie, Tuur Florizoone qui ont toutes et tous contribué au développement de leur regard sur la bascule et sur le cirque.

Ils ont appelé leur trio Sans Interdit (Sæns), un jeu de motS qui verbalise leur recherche sur les directions interdites de la bascule. Elle les conduit vers un positionnement artistique et technique différent de la pratique traditionnelle, plus commun au monde du cirque. Ils souhaitent se débarrasser des partis pris vis-à-vis du danger que la bascule représente sur scène, tout en exerçant leur passion pour la propulsion et pour l’envol.

Ce trio est très motivé par le souci de détournement de la bascule coréenne. Principalement, ils ont l’envie d’élargir leur capacité physique et technique en apprenant d'autres disciplines circassiennes qui se marient bien avec la pratique de leur discipline. Par exemple, ils innovent avec “la bascule volante“, une construction pour pouvoir pratiquer la bascule en hauteur, sans toucher le sol. Cette innovation technique leur ouvre la voie vers de futurs projets de création et de laboratoires de recherche et, sans doute, une réflexion sur des lumières et des rideaux pour travailler sur ce que les spectateurs.trices voient et ne voient pas habituellement.

Parallèlement, en 2e année de leur cursus au CNAC, lors de la reprise de répertoire, ils ont rapidement collaboré dans une ambiance de travail très agréable avec trois autres étudiant.e.s de la promotion : Alice Binando, Tomàs Denis et Yannis Gilbert. Ils ont alors choisi de créer un collectif pluridisciplinaire de portés acrobatiques, bascule, acrodanse et corde lisse pour, une fois devenu.e.s artistes professionnel.le.s, s'engager ensemble dans un travail et une première création.