Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo P Hardy
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo P Hardy
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo P Hardy
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo P Hardy
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo P Hardy
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau
Carlo Cerato, jonglerie - manipulation d'objets, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau

Circassien surréaliste, comédien tautologique, japanese wannabe.

Carlo naît à Cuneo, en Italie, le 27 août 1995. Il grandit dans une famille de photographes et de dessinateurs, mais contre toute attente, il est attiré par les sciences, surtout la physique et l'astronomie. Également passionné par les sports, il pratique essentiellement l’athlétisme et le Kung Fu. Il étudie la chimie au lycée, avant de commencer un vrai parcours d'études dans le cirque.

Il rencontre le cirque à 10 ans, contraint par sa mère d’essayer quelque chose de différent. Il déteste et supplie sa mère d'arrêter après le premier jour. Mais sa mère, forte de l’expérience avec ses deux fils aînés, l'oblige à persister. La seconde journée, le cours porte sur le jonglage, Carlo essaie les assiettes chinoises : c'est le coup de foudre !

C’est donc avec les assiettes chinoises que Carlo commence sa vie dans l'école de cirque Fuma che 'Nduma, dirigé par Giuseppe Porcu. Il passe ensuite aux balles, puis ajoute les massues et, encore plus tard, les anneaux.

En 2014, après huit ans de pratique, il commence à mêler les trois agrès traditionnels dans son jonglage. Dans cette petite école de loisirs, il rencontre Francesco Sgrò, une figure artistique qui a joué un rôle extrêmement important pour son parcours dans le cirque. Carlo serait perdu sans Francesco. :'(

C'est en mêlant les trois agrès, balles, massues et anneaux, qu'il entre en première année à l'école de cirque FLIC de Turin, pour se former deux ans avec trois autres amis de l'école Fuma che 'Nduma. Il découvre qu’il n’aime absolument pas danser. À l’école de cirque FLIC de Turin, il tombe en extase devant Léon Volet, passe avec lui les meilleurs moments de ses deux années à Turin et lui dédie une chanson au ukulele. C’est le début d'une collaboration artistique/amicale très importante pour Carlo, qui se développera en duo artistique dans le futur.

En 2017, sans le comprendre car il ne parle pas du tout français, il intègre directement en deuxième année le Centre national des arts du cirque / CNAC. C’est Léon qui lui traduit les résultats quelques jours après. Pendant son temps libre, il commence à produire de la musique électronique. Dans sa promotion, il rencontre Noémi Devaux, avec laquelle il entame un projet vidéo qui utilise le cirque dans le montage vidéo.
Avec Léon Volet et Ramiro Erburu, il débute le projet "EDO cirque", où EDO correspond à l'acronyme de l'Esthétique De l'Ours.

Le 24 mars 2019 il écrit la biographie pour le dossier de presse des échappées 2019.

Dans le cirque, Carlo est intéressé par l'abstrait, le surréalisme et le "décontextualisé". Il défend le cirque autonome, qui n'a pas besoin de s'appuyer sur d'autres arts pour exister. Même si parfois il le fait. Il travaille sur un méthode d'écriture fondée sur le cirque et sur l'instinctivité du créateur/acteur, et sur comment cultiver son propre instinct artistique.
La voie est encore longue, et surtout il n'a pas d'objectif : seulement des envies, des méthodes et des règles.