Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
photo CRdL
Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
photo P Hardy
Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
photo P Hardy
Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
photo P Hardy
Johan Caussin, acrobatie, 28e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
photo P Hardy

Il voit le jour fin janvier 1992, au cœur de la Provence. A mi-chemin entre monts et mer, il grandit à l’ombre des collines sous le cagnard au gré du Verdon et des cigales. A six ans, il débute la gymnastique rêvant d’être pompier, cascadeur ou gymnaste. A douze ans, il délaisse la gym pour s’adonner au hip-hop. A quinze ans, il crée son premier groupe de breakdance avec ses amis et enchaîne les entraînements et les "battles" durant toute la période du lycée.

A la recherche d’une formation de cascadeur après l’obtention de son Bac STI, il s’oriente vers le cirque. Il se présente avec un autre danseur aux sélections du Centre des arts du cirque Balthazar à Montpellier. Durant une année, il y travaille l’acrobatie sur trampoline et au sol, pour ensuite enchaîner deux années à l’Ecole nationale des arts du cirque de Rosny-sous-Bois (Enacr) en anneaux chinois : d’abord en quatuor, puis en duo. Suivant des chemins différents, les deux partenaires se séparent et Johan intègre le Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne.

Après six mois de pratique en solo aux anneaux chinois, et avec un vocabulaire technique bien avancé, Johan se consacre au trampoline et à l’acro-danse qu’il mêle au breakdance. Il y trouve alors le meilleur moyen d’expression et de transmission de son plaisir scénique et acrobatique.