Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo P Hardy
Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
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Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo P Hardy
Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau
Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau
Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau
Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau
Oskar Norin, bascule coréenne, 31e promotion du Centre national des arts du cirque (Cnac) de Châlons-en-Champagne
Photo G Mussau

Oskar naît en Suède le 22 février, dans un petit village du nord, entre les montagnes, les forêts et les lacs.

Dès l’enfance, il est attiré par l'idée de grimper partout et sauter depuis les plus grandes hauteurs. C'est alors que la plupart de ses copains se mettent mis à jouer au foot et au hockey et il se retrouve donc également à faire du sport.

À six ans, il commence à jouer du violon dans un orchestre, ce qui a pris une grande importance dans sa vie. Musique, sport et accès à la nature, avec ski et ballades en montagnes remplissent ses semaines jusqu’à ce qu’il découvre, à quinze ans, le parkour à travers Youtube. C'est un bouleversement complet.

Une obsession pour l’acrobatie se développe aussitôt et c'est cela qui l’amène au cirque.

Parallèlement, avec un certain talent pour toutes les approches techniques, Internet, programmation et mathématiques, il termine le lycée avec pour but de devenir ingénieur.

Avant de se lancer dans une formation, il décide de tester une école préparatoire de cirque au Danemark. Il s’acclimate alors très rapidement à la vie circassienne et lorsqu’il découvre la bascule, tous ses projets de devenir ingénieur disparaissent.

Il s’engage en 2016 dans sa formation au Centre national des arts du cirque / CNAC de Châlons-en-Champagne avec ses partenaires Demian Bucci, Sebastian Krefeld et Anton Persson.

Ensemble, ils forment le collectif de bascule « 12 Twists » qui joue avec le risque, le danger maîtrisé et les attentes pour créer sa propre forme d’expression.